
Durant trois ans, les casinos fonctionnaient sans aucun souci grâce à la protection des fonctionnaires qui étaient de mèche et qui recevaient leurs pot de vins. Mais les services secrets russes ont vite découvert les qctivités illégales et arrêté le réseau « ripoux ». Faut dire que depuis 2009, les casinos terrestres sont interdits en Russie et seules quatre régions sont autorisées à proposer des jeux de casinos. Dans cette région du monde comme d’autres pays, la corruption est monnaie courante et il n’est pas rare que des hauts magistrats et des hauts gradés dans la police et l’armée ferment les yeux sur certaines activités histoire d’arrondir les fins de mois.En règle générale, les casinos terrestres sont légaux hormis dans certains pays où le jeu reste illégal comme en Chine par exemple (hormis Macao ndlr) ou encore Israel. Dans le cas de la Russie, quatre zones autorisent les jeux de casinos: Kaliningrad à l’extrême ouest du pays, Azov-City (région de Rostov, sud), dans la région de l’Altaï (Sibérie) et celle de Vladivostok (Primorié, Extrême Orient). En 2009, la ville de Moscou comptait pas moins de 524 casinos et salles de jeux, et Saint-Pétersbourg, totalisant 109 établissements de jeux. Des milliers d’emplois ont disparu à cause de cette loi contre les casinos mais ça n’a pas empêché de voir les casinos clandestins pousser comme des champignons.Les 14 procureurs sous les verrous sans compter les policiers « ripoux » devraient donner l’exemple à bien d’autres casinos illégaux et fonctionnaires hauts placés qui ferment les yeux.
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