Moscou part en chasse contre les casinos illegauxLa ville de Moscou est parti en guerre contre les maisons de jeux clandestines et en 2010 pas moins de 900 établissements de jeux illégaux ont été fermés. Ainsi trente mille machines à sous illégales ont été confisquées et Sergueï Sobianine, maire de la capitale russe, se targue d’avoir littéralement éradiqué les casinos illégaux dans sa ville. Faut dire que la Russie a décidé de procéder à de grands changements en matière de jeux et seuls quatre zones spéciales peuvent désormais accueillir des jeux de casinos en Russie. Cette loi a été mise en vigueur en juillet 2009 et les casinos sont désormais interdits à Moscou. Le maire de Moscou y va fort puisqu’il n’a pas hésité à licencier les responsables municipaux dans lesquels les jeux clandestins étaient encore opérationnels.
Autant dire que Sergueï Sobianin a fait des casinos clandestins sa cible numéro un.Pourtant, les casinos en ligne sont présents en Russie et tous les grands groupes de casinos tels que Playtech ou Microgaming proposent des jeux de casinos en langue russe. L’engouement des joueurs russes pour les casinos en ligne et le jeu en général est très fort et cette restriction physique d’accès à des casinos terrestres devraient augmenter la fréquentation des jeux de casinos en ligne. Les russes peuvent accéder à seulement 4 zones pour jouer aux machines à sous, tables de roulette, poker, baccarat, blackjack et autres jeux traditionnels. A l’image de la Chine qui autorise les chinois à jouer de manière légale seulement à Macao, la Russie en fait de même mais dans quatre régions de ce grand pays.
Pas simple de satisfaire sa passion en devant faire de nombreux kilomètres voire impossible pour de nombreux moscovites et autres russes. Les jeux illégaux pullulent dans le pays et le maire de Moscou a mis un coup d’arrêt aux jeux illégaux en fermant 900 établissements. Il se peut qu’il reste encore beaucoup de travail pour éradiquer définitivement les casinos illégaux et autres cercles de jeux qui brassent des millions d’euros chaque année à la barbe de l’état et ce sans payer le moindre centime d’impôt.