Une situation financière difficile
Il est encore trop tôt pour connaître les conditions financières de la cession des deux casinos terrestres belges mais cela montre bien les difficultés financières auquelles le groupe Partouche est confrontée. Faut dire que les problèmes financiers du groupe Partouche ne datent pas d’hier et il a été placé en procédure de sauvegarde. La vente des deux casinos belges va pouvoir renflouer les caisses du casinotier qui pourra se concentrer sur son activité en France. le groupe Partouche est également présent en Suisse (Casino de Crans-Montana, Casino du Lac) ainsi qu’en Tunise avec le Pasino de Djerba. Peut être que la stratégie du groupe est de se concentrer uniquement sur les casinos en France et de se séparer des établissements de jeu situés à l’étranger.
Les casinos français dans l’impasse
Les etablissements de jeu en France sont dans une situation très difficile à cause de la conjoncture économique ainsi que l’interdiction de fumer. Les casinos en France ont toujours connu une croissance et depuis quelques années, un brusque changement de situation a entraîné une forte chute du produit brut des jeux et des fermetures de casinos. Des nouveaux jeux comme la roulette électronique, le craps ou lotos bingos ont pour objectif d’attirer une nouvelle clientèle ou de fidéliser l’existante mais rien n est encore joue. D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si le tribunal a statue pour une annulation des autorisations d’ouverture des deux casinos du Var.
Le groupe Partouche va mal et pour assainir ses comptes se doit de se séparer de certains de ses actifs en l’occurrence les casinos belges.
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