Le déclin de la très grosse majorité des casinos terrestres français ne fait que se confirmer. Plusieurs d’entre eux ont été obligés de licencier du personnel et pour quelques établissements de jeux terrestres la fermeture a été inévitable. Contrairement à ses concurrents, les casinos du groupe Tranchant sont préservés.
Les 16 établissements de jeux terrestres n’ont pas été contraints de mettre la clef sous la porte et cela est en grande partie dû aux investissements qui ont été opérés dans l’ensemble de ses casinos. Le casino de Valras n’a pas lésiné sur les moyens financiers et a investit 1,5 Millions d’ euros dans l’achat de 35 nouvelles machines à sous. Ces bandits manchots dernier cri ont permis à la maison de jeux d’attirer de nouveaux joueurs. Mais contrairement aux idées reçues, le casino de Valras n’a pas été obligé de se séparer d’une partie de son personnel et en a profité pour mettre ses salariés à disposition des clients.
Pascal Schmidt, le nouveau directeur du casino de Valras, est très réaliste quant à la situation financière de son établissement de jeux. Il reconnaît que la baisse d’activité qui représente tout de même 20 % depuis 2008 est due à l’interdiction de fumer dans les lieux publics, l’obligation de présenter sa carte d’identité à l’entrée du casino et bien entendu de la crise. Mais comme il le précise, cette diminution du produit brut des jeux est similaire chez les autres casinotiers. Pascal Schmidt compte bien continuer à redynamiser son établissement de jeux. Il souhaite relooker la salle de restaurant, le bar, et proposer toujours plus d’animations, notamment une nouveauté : les pièces de théâtre.
Les fumeurs ne sont pas en reste, puisque le directeur va installer une salle de machines à sous pour les fumeurs. Tous ces travaux seront réalisés dès le début de l’année prochaine mais uniquement de nuit pour ne pas nuire au bon fonctionnement du casino.Pour le moment, l’optimisme est le maître mot et l’arrivée du jeu de batailles devrait permettre de relancer le casino de Valras.
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