Nombreux sont les projets qu’on espérait réaliser à La Seyne ces derniers mois entre autres un casino appartient au groupe JOA. A part cela, il y a aussi la grande plaisance, le port Michel-Pacha et bien d’autres projets. Samedi après-midi dernier, une assemblée générale du Comité d’intérêt local a été tenue et les grands chantiers des Mouissèques ont été passés en revue. Des questions ont été posées, des réponses ont été obtenues quoi que quelque fois insuffisantes notamment sur la question du casino du groupe JOA dont les travaux se sont arrêtés en février 2014 dernier. Les personnes qui constituaient l’Assemblée Générale étaient entre autres composées d’une cinquantaine d’adhérents des Mouissèques et des environs.L’Assemblée Générale s’est tenue à l’espace Solidarité. Bien avant cette Assemblée, plusieurs questions émanaient des habitants du quartier notamment sur les projets qui ont déjà commencé dans les lieux, mais qui ont été suspendus. Ces questions ont déjà d’ailleurs été posées à la municipalité. Le casino que Joagroupe devait construire était parmi les principaux sujets. En réalité, en février dernier, l’autorisation pour la construction de ce casino ainsi que celle pour l’exploitation des jeux était annulée par le Tribunal administratif de Toulon. Cette autorisation a été délivrée en mars 2012 par le ministère de l’Intérieur, mais avait été contestée par le groupe Partouche qui estimait que l’ouverture du nouveau casino JOA allait être une entrave au développement du casino de Bandol. Toujours selon Partouche, il n’y a pas vraiment eu d’étude d’impacts réalisée sur le casino de Bandol. Le Juge a toutefois précisé que l’annulation de l’autorisation ne prendra effet qu’à compter du 1er novembre 2014. Jusqu’à cette date, le casino peut continuer à fonctionner. Or, le groupe JOA avait décidé de suspendre les activités du chantier pour la construction du casino dans le centre-ville. Selon le groupe, tant qu’il n’y a pas d’autorisation à construire, on ne peut pas continuer les travaux, des travaux qui ont fait travailler un nombre considérable de personnes.
Samedi, lors de l’Assemblée nationale, le maire a interpelé les riverains en leur affirmant que la situation est assez compliquée, mais que malgré tout, l’autorisation va être obtenue. Pour lui, il ne s’agit que d’un retard et que l’arrêt de l’autorisation rédigé par le ministère n’était pas conforme dans sa rédaction et que cela avait entraîné son annulation. Le groupe JOA a déjà rédigé un nouveau dossier qui devait être étudié mardi 27 mai, mais qui est repoussé le 1er juillet.
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