Le casino de Royat a la baraka du moins ses joueurs puisqu’en l’espace de moins d’un mois un joueur de l’établissement a fait sauter le jackpot progressif du groupe Partouche. En effet, le casino de Royat avait fait la une de l’actualité régionale grâce au 1,2 million d’euros gagnés le 21 mars dernier par un Puydomois qui avait décroché le jackpot progressif du groupe. Rebelote moins d’un mois après puisque le 16 avril un joueur de passage dans la région a également trouvé la combinaison gagnante pour seulement 2,5 euros (lire article Partouche Mégapot : Jackpot pour le casino de Royat). Cette fois, le gagnant est reparti avec un chèque de « seulement » 625 409 euros.La probabilité pour qu’un jackpot progressif soit gagnée dans le même établissement et surtout à un intervalle si court est faible sachant que l’ensemble des casinos du groupe Partouche et des casinos indépendants participent à ce jackpot progressif. De plus, non seulement le jackpot est gagné dans le même casino à savoir celui de Royat mais a seulement 26 jours d’intervalles. Un record.
Partouche Mégapot: un jackpot populaire
Depuis son lancement, le Partouche Mégapot a été gagné à de multiples reprises et a fait de nombreux millionnaires en euros. ce jackpot progressif est très populaire dans les casinos du groupe grâce aux gains potentiels que les joueurs peuvent gagner. Surtout en cette période de morosité économique, le moindre gain permettant de se refaire une santé financière est le bienvenu.
Les jackpots gagnés sont d’excellents vecteurs de communications pour les casinos dont l’information est reprise par l’ensemble de la presse spécialisée comme notre guide de casino mais également la presse régionale. Quand le gain est mirobolant, les grandes groupes de presse informent également le public notamment la presse écrite voire télévisuelle.
Pour le casino de Royat, une telle publicité est bonne puisque deux joueurs ont gagné dans cet établissement en l’espace de quelques semaines. Autant dire que les joueurs devraient se ruer vers ce casino porte bonheur et comme dit l’adage « jamais deux sans trois ».
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