Dans la nuit de dimanche à lundi, le casino Partouche de Saint-Amand-Les-Eaux a été victime d’un braquage. Quatre personnes armées et cagoulées ont fait irruption vers 2h30 dans le casino et ont tiré des coups de feu en l’air afin de mettre tout le monde à terre. Les malfrats se sont fait remettre la caisse du jour et sont repartis avec pas moins de 100 000 euros.
Durant ce hold up éclair qui n’a pas duré plus de deux minutes, aucun blessé n’est à déplorer. Le casino de Saint-Amand-Les-Eaux est le premier casino du groupe Partouche qui est le premier groupe de casinos en terme de nombre d’établissements de jeux en France et non pas en terme de produit brut des jeux qui revient au groupe Barrière.
Le Pasino de Saint-Amand-Les-Eaux est un des plus grands casinos du groupe Partouche avec ses 300 machines à sous, tables de boule 2000, roulettes anglaises et blackjack. De plus, le casino Partouche de Saint-Amand-Les-Eaux possède un hôtel, trois restaurants (italien, japonais et oriental), un piano-bar, des spectacles et plusieurs salons pour l’organisation de réceptions. Les casinos sont souvent victime de braquage de par l’argent brassé chaque jour et donc attire les personnes mal intentionnées. Faut dire que les hold up ne sont pas propres uniquement aux casinos français mais même les casinos américains de Las Vegas qui sont surprotégés sont également le théâtre de braquages comme ce jeune de 29 ans qui a fait main basse sur 1,5 millions de dollars en jetons mais qui a été arrêté par la police (lire article Arrestation d’un voleur au Casino Bellagio).Les casinos terrestres français sont toujours plus protégés par des systèmes de sécurité perfectionnés mais ça n’empêche pas que de tels braquages aient lieu. Les systèmes vidéos permettent de pouvoir identifier les auteurs des braquages bien que la police ait affaire à des bandes organisées très bien entraânées faisant partie du grand banditisme. Armés jusqu’aux dents généralement avec des armes lourdes tels que les kalachnikovs, les malfrats n’hésitent pas à faire usage de leur arme en cas de résistance du personnel de sécurité ou des clients. Cette fois-ci, plus de peur que de mal mais ce hold up aurait très bien pu mal se terminer.
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