
Casino Barrière de Saint-Raphaël : 7 524 035 € (19 juillet 2013)
Casino JOA de Gérardmer : 5 875 836 € (mai 2012)
Casino Tranchant de Bagnères-de-Bigorre : 5 512 448 € (mai 2010)
Casino Barrière de Besançon : 4 794 317 € (septembre 2012)
Casino JOA La Siesta d’Antibes : 4 522 674 € (octobre 2011)
Casino Barrière de Royan: 3 651 485 € (16 août 2013)
et 3 438 701 € décrochés le 3 avril 2011 au Casino JOA de Luxeuil-les-Bains.Sur les 10 plus gros jackpots progressifs gagnés dans un casino terrestre français, huit proviennent du Magic casinos Jackpots. Bien que les montants des gains donnent le tournis, les attentes des joueurs ne sont pas satisfaites puisqu’ils préfèrent que les jackpots progressifs tombent plus souvent. A l’image du Partouche Mégapot, son unique concurrent, les joueurs souhaitent voir les sirènes retentir plus souvent sans exiger des cagnottes exorbitantes (un ou deux millions d’euros, c’est pas mal non?).
Dernier gain du Magic Casinos jackpot
Afin de sortir par la grande porte, le Magic Casinos Jackpot va voir sa cagnotte gonfler de 500 000 euros et elle s’élève aujourd’hui à 1,7 millions d’euros. Une page se tourne pour les casinos des groupes Barrière, Joagroupe, Tranchant, Emeraude et Cogit et quelques casinos indépendants (Balaruc, Cavalaire, Evian, Grand Cercle d’Aix-les-Bains, Noirétable et Gruissan) qui vont devoir revoir leur politique de machines à sous progressives pour satisfaire les attentes des joueurs.
Partouche se frotte les mains
Le groupe Partouche doit se réjouir de cette décision d’arrêter le Magic Casinos Jackpot et sera le seul groupe en France à proposer un jackpot progressif multisite. A moins que les groupes des autres casinos français se concertent pour lancer un jackpot progressif qui puisse tomber plus souvent même si il est impossible de prévoir la fréquence à laquelle les machines décident d’aligner la combinaison gagnante. Ceci étant, après 4 ans de succès, le Magic Casinos Jackpot tire sa révérence avant de voir un nouveau produit qui convienne davantage aux joueurs.
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