
Le problème étant que les tribus indiennes ne sont pas prêtes pour le grand saut ce qui permettrait aux grands groupes de s’accaparer de très fortes parts de marchés. Ainsi, la loi du « premier venu, premier servi » permettrait aux grands casinotiers en dur à proposer leurs jeux de casinos les premiers et ce en toute légalité auprès des millions de joueurs passionnés de machines à sous et autres jeux de tables et de cartes tels que la roulette, baccarat, blackjack et craps pour ne citer qu’eux.Les casinos terrestres américains devraient profiter de l’ouverture du marché du jeu en ligne pour proposer des bonus gratuits de casinos et une palette de jeux étonnants. Des groupes comme Playtech et Microgaming qui connaissent parfaitement le marché pour avoir proposer leurs services durant de nombreuses années devraient profiter de ce marché pour se refaire une santé financière. En effet, depuis 2006, le président Georges Bush Jr a interdit tout jeux en ligne sur le net américain et les grands groupes de casinos en ligne ont dû plier bagage en se concentrant sur le marché européen.
Les cours en bourse de titre comme celle de PartyGaming a dévissé du jour au lendemain et des groupes ont vu leurs résultats sombrer. En revanche, des logiciels comme Top Game en ont profité pour s’imposer dans le milieu du casino en ligne et côté poker, Pokerstars et Fulltilt poker ont fait main basse sur le marché du poker en ligne. Sauf que le « Black Friday » les a mis dans de beaux draps justement à cause de cet affront fait à la loi américaine qu’ils n’ont pas tenu compte depuis 5 ans.Les tribus indiennes ne comptent pas en rester là et vont devoir batailler pour ne pas se faire devancer par de nombreux casinos terrestres qui ont déjà leur casino en ligne prêt. Une chose est sûre, le calumet de la paix n’est pas prêt d’être fumé entre les différents protagonistes du jeu aux Etats-Unis.
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