
Le casino du Lac Meyrin a signalé à la Commission fédérale des maisons de jeu la ruse de la joueuse en ayant procuré une nouvelle pièce d’identité. De plus, selon le casino, le personnel ne pouvait savoir que la joueuse était interdite d’accès de par son passeport malais. Enfin, la joueuse a tenté de lever son interdiction d’entrée au casino mais en vain. L’établissement de jeu de Meyrin a refusé de la mettre hors liste des joueurs addictifs. La joueuse déprimée et ayant gaspillée tout son argent dans les machines à sous du casino se retourne contre le casino qu’elle juge coupable de sa situation financière et de ses problèmes de santé. La justice suisse devra trancher sur un cas qui n’est pas isolé puisque de nombreux joueurs accro au jeu accusent les casinos de tous leurs maux. En effet, le jeu est pour certains joueur une drogue et ils ne peuvent pas se contrôler quand ils se retrouvent devant une machine à sous ou un autre jeu de table que ce soit la boule 2000, la roulette, le baccarat ou le blackjack.
Obnubilé par la recherche du gain, les joueurs compulsifs n’ont qu’un objectif : récupérer l’argent perdu. Le problème est que récupérer aux jeux des sommes de plusieurs centaine de milliers d’euros ne se fait pas en un jour et ce leitmotiv n’est que prétexte pour se rendre dans des casinos et assouvir ce besoin de jouer.Le jeu doit rester avant tout un besoin de divertissement et pas une quête certaine d’argent. Les casinos apportent du rêve et de nombreux joueurs gagnent dans les casinos en dur ou dans les casinos en ligne. Mais il est préférable de se rendre dans un casino avec pour objectif de passer un bon moment et si l’occasion se présente gagner de l’argent. Mais l’objectif de gagner ne doit pas être une priorité sur le divertissement.
Le casino suisse de Meyrin devra régler cette affaire de jeu compulsif devant la justice et une fois de plus, cette histoire ternit l’image du casino. Il est à noter que la grande majorité des joueurs vont dans les casinos pour le divertissement et son côté ludique et ça on ne le dit pas assez.
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